Comme pour les courses, il y a une inscription et un paiement anticipé, un camp sur glacier n'est pas donné !
Puis, l'organisateur envoie une convocation avec un planning du camp (qui, où, quand).
Lorsque le camp se déroule avec un team ou un ski-club, bien souvent, le transport est organisé, mais, pour les camps ouverts à tous, le transport est à la charge des parents.
Selon le mois et les conditions, le glacier est ouvert plus ou moins longtemps.
Typiquement en juillet-août, les gamins se lèvent vers 5-5h30, ils commencent à skier vers 7h30 et arrêtent entre 11 et 13h selon la température.
A l'inverse, les camps en octobre-novembre permettent aux gosses de dormir plus longtemps le matin et de skier plus tard dans l'après-midi.
Après le ski, il y a la pause déjeuner puis une petite sieste avant de partir à la condition physique qui dure le restant de l'après-midi.
Après la condi, en période scolaire, une période "études" est prévue pour les devoirs où il n'est pas rare que les gamins des différents âges s'entraident.
Vient ensuite le repas du soir et le visionnage des vidéos. Selon le team, il a aussi une séance pour préparer le matériel pour le lendemain.
Enfin, une petite période "réseaux sociaux" est autorisée avant de se coucher, ce sont des ados tout de même !
L'heure du coucher varie selon la saison et l'âge des participants.
Se retrouver avec une trentaine d'enfants et ados demande un minimum de discipline d'autant que, la plupart du temps, ils couchent dans des hôtels classiques ayant d'autres clients qui peuvent aussi souhaiter un minimum de tranquillité.
Un camp demande un minimum d'autonomie de la part de l'enfant, surtout si très jeune, car il doit être capable de préparer ses affaires, ne pas faire n'importe quoi sur un glacier qui présente naturellement des risques si on s'éloigne des parties sécurisées.